HOUSE OF WORDS
JIM DINE – VALERIE MREJEN – MARC MARDER
double change et la galerie éof vous invitent à
deux événements à l’occasion de l’exposition des poèmes typographiés de Jim Dine
le week-end des 21 et 22 novembre :
> une LECTURE de
JIM DINE et VALERIE MREJEN
le samedi 21 novembre à 19h
> une PERFORMANCE – CONCERT
avec JIM DINE et MARC MARDER
le dimanche 22 novembre à 17h
Galerie éof,
15 rue Saint Fiacre,
75002 Paris
(métro grands boulevards)
entrée libre.
JIM DINE est peintre et poète. Ses Collected Poems, Poems to Work On viennent de paraître chez Cuneiform Press. « I was born in 1935. The real story is that I didn’t meet poetry till I was 19 when my sculpture professor, Dave Hosteller, at Ohio University, played Dylan Thomas reading his poems on a Caedmon “LP” record. He also gave me Under Milk Wood (Thomas’s radio play) to listen to. During my early 20s, I made performances in New York with colleagues in the “downtown” art world. My most elaborate work, called Car Crash, was a cacophony of sounds and words spoken by a great white Venus with animal grunts and howls by me. Five years later, I illustrated Ron Padgett’s translation of Apollinaire’s The Poet Assassinated. Meeting Ron introduced me to his work and the works of other poets he admired. At the same time, I met and fell in love with Robert Creeley. His was, to me, all about poetry. He was generous with his thoughts, but it was his Massachusetts-accented voice that was the poetry. I read Ted Berrigan’s The Sonnets. It was 1966, and I started to write poetry full force around then. » Jim Dine, 2014 Vous pouvez continuer à lire à http://cuneiformpress.com/?product=jim-dine-poems-to-work-on
VALERIE MREJEN est née en 1969 à Paris. Issue d’une école d’art, elle s’intéresse dès ses débuts à différents moyens d’expressions pour mieux explorer les possibilités du langage. Elle commence par éditer quelques livres d’artiste avant de tourner ses premières vidéos. Ses travaux ont fait l’objet de nombreuses expositions en France et à l’étranger, notamment au Jeu de Paume en 2008. Elle a réalisé plusieurs courts-métrages, des documentaires (Pork and Milk, 2004, Valvert, 2008) et un long métrage de fiction, En ville, co-réalisé avec Bertrand Schefer et sélectionné à la quinzaine des réalisateurs à Cannes en 2011. Elle a publié Mon grand-père, 1999, L’Agrume, 2001, Eau sauvage, 2004, aux éditions Allia, et Forêt noire, 2012, aux éditions P.O.L. En 2014 elle a mis en scène pour la première fois un spectacle tout public, Trois hommes verts, crée au Théâtre de Gennevilliers. Eau sauvage a été mis en scène en 2014 au CDN de Béthune par Julien Fisera.
Interprète et créateur multiforme, MARC MARDER, originaire de New York, vit à Paris. Après l’Université d’Etat de New York College à Purchase ou il étudie la contrebasse avec Alvin Brehm il devient soliste de l’Ensemble Intercontemporain de 1978 à 1980 sous la direction de Pierre Boulez. Dans les années 80, il est contrebasse solo de l’orchestre du Festival Mozart à New York, puis membre de l’Orchestre National de France sous la direction de Leonard Bernstein et Lorin Maazel. De 1984 à 1992, à la demande de Gilbert Amy il enseigne la contrebasse au CNSM de Lyon. Parmi ses partenaires en musique de chambre sont Gidon Kremer, Paul Tortelier, Sandor Vegh, Maurice Gendron, YoYo Ma, Rudolf Serkin, Robert Levin, Janos Starker, Maurice Bourgue…. La bande originale du film muet Sidewalk Stories de Charles Lane a reçu le Deutsche schallplattenpreis en 1990 et Marc Marder a accompagné Rithy Panh au Festival de Cannes à la sélection officielle pour six de leurs vingt collaborations. En 2013 L’Image Manquante a eu le prix d’Un Certain Regard et une nomination aux Oscars. Il a composé environ 90 bandes sons pour le cinéma et la télévision, des musiques de scènes, des comédies musicales et des pièces de concert. Il a publié un ouvrage en lithographie, While You Were Out, maintenant dans les collections permanentes du Musée d’Art Moderne (MOMA) de New York et la Bibliothèque de Dresde.
site web: http://www.marcmarder.com/index.html