double change et l’atelier
Michael Woolworth
vous invitent à une lecture
de
Steve COLLIS
David HERD
Lize MOGEL
Mathilde ROUX et Anne SAVELLI
le vendredi 18 mai 2018 à 19h
Atelier Michael Woolworth
2 rue de la Roquette, cour Février
75011 Paris
> comment s’y rendre
entrée libre
http://www.michaelwoolworth.com/
www.doublechange.org
Cette lecture a lieu dans le cadre du colloque The Cartographic Imagination: Art, Literature and Mapping in the United States, 1945-1980, soutenu par la Terra Foundation for American Art, organisé par le Département d’Etudes Anglophones de l’Université de Strasbourg et le Centre for American Studies de l’Université du Kent.
BIOS
Stephen Collis’s many books of poetry include The Commons (Talon Books 2008; 2014), On the Material (Talon Books 2010—awarded the BC Book Prize for Poetry), DECOMP (with Jordan Scott—Coach House 2013), and Once in Blockadia (Talon Books 2016—nominated for the George Ryga Award for Social Awareness in Literature). He has also written two books of literary criticism, on poets Susan Howe and Phyllis Webb, a book of essays on the Occupy Movement, and a novel. Almost Islands is a forthcoming memoir, and a long poem, Sketch of a Poem I Will Not Have Written, are in progress. He lives near Vancouver, on unceded Coast Salish Territory, and teaches poetry and poetics at Simon Fraser University.
David Herd’s collections of poetry include All Just (Carcanet 2012), Outwith (Bookthug 2012) and Through (Carcanet, 2016). He has given readings and lectures in Australia, Belgium, Canada, France, Poland, the USA and the UK, and his poems, essays and reviews have been widely published in magazines, journals and newspapers. He is the author of John Ashbery and American Poetry, Enthusiast! Essays on Modern American Literature, and the editor of Contemporary Olson. His recent writings on the politics of human movement have appeared in Detention Unlocked, Los Angeles Review of Books, Parallax, PN Review and the TLS. He is a co-organiser of the project Refugee Tales and Professor of Modern Literature at the University of Kent.
Lize Mogel is an interdisciplinary artist and counter-cartographer. Her work intersects the fields of popular education, cultural production, public policy, and mapping. She has mapped public parks in Los Angeles; future territorial disputes in the Arctic; and wastewater economies in New York City. She is co-editor of « An Atlas of Radical Cartography,” a project that significantly influenced the conversation and production around mapping and activism.
Exhibitions include the Sharjah (U.A.E.), Gwangju (South Korea) and Pittsburgh Biennials, « Greater New York » (PS1, New York City), « Experimental Geography », and the upcoming “Diagrams of Power” (OCAD, Toronto). She has been an artist in residence at Headlands Center for the Arts, Community Artist-in-Residence at the Whitney Museum, and is currently part of the inaugural Research & Design group for Fresh Kills Park in New York City.
Mathilde Roux, plasticienne et auteur, développe une pratique associant documents géographiques et fragments de pages de livres, élaborant une cartographie inédite et subjective. Image et langage y sont sans cesse confrontés, superposés, confondus. Son travail aborde les thématiques de l’espace vécu, du parcours, du territoire et du déplacement, mais aussi celles des représentations établies (savoirs ou points de vue établis) et de la prise de parole possible. Par ailleurs, elle est l’auteur de deux livres parus aux éditions Publie.net (J’ai l’amour, 2013, Via & Vers, 2015), de textes dans différentes revues et ouvrages collectifs. Elle collabore également avec des écrivains pour illustrer
leurs livres et oeuvre régulièrement avec les collectifs artistiques L’aiR Nu et Général Instin.
Anne Savelli
est née et vit à Paris. Après des études de lettres modernes et d’audiovisuel, a exercé plusieurs métiers (formatrice, journaliste, documentaliste…) avant, depuis une dizaine d’années, de ne faire qu’écrire, choix qui inclut lectures en public et animation d’ateliers d’écriture. Elle publie des livres « papier » (Fenêtres open space, Franck, Décor Lafayette) mais également numériques (Des oloé, espaces élastiques où lire où écrire, Laisse venir, Anarmarseilles). Tous oscillent entre plusieurs genres littéraires et ont pour thèmes principaux la ville, le décor, l’image, le mouvement, le corps, le son.
En 2017, elle a fait paraître Décor Daguerre, portrait de Paris en 1975 qui inclut une réflexion sur le cinéma d’Agnès Varda et A même la peau, inspiré par la danse et le rapport modèle/photographe. Elle vient également de terminer une fiction « autour » de Marilyn Monroe et de la photographie, intitulé Volte-face, et entame depuis début 2018 un roman « monstre », Bruits, qui devrait lui prendre plusieurs années.
Elle collabore régulièrement avec des artistes d’autres disciplines (le guitariste improvisateur Jean-Marc Montera, la compagnie de danse Pièces détachées) et a contribué à la création du collectif d’auteurs L’aiR Nu (Littérature Radio Numérique) http://www.lairnu.net/.